• Penverne Armand

    Penverne Armand

    Équipe de France (collection Jean Josset)

     

    Armand Penverne, né le 26 novembre 1926 à Pont-Scorff (Morbihan) et décédé le 27 février 2012 à Marseille (Bouches-du-Rhône), est un footballeur international français puis entraîneur. Il joue au poste de milieu de terrain de la fin des années 1940 au début des années 1960.

    Il évolue au Stade de Reims durant douze ans et compte 39 sélections en équipe de France avec qui il finit la Coupe du Monde 1958 à la troisième place.

     

    Clubs

    Armand Penverne joue à Versailles quand il est remarqué par les dirigeants du Stade de Reims. Il remporte dès sa première année au club le Championnat de France Amateur avec la réserve du club face à l'Arago d'Orléans.

    Il devient titulaire au sein du Stade de Reims dès la saison suivante et il est l'un des principaux acteurs des succès du club au cours des années 1950-1960.

    Une blessure le prive de la finale de la première Coupe d'Europe des clubs Champions en 1956 avec Reims. Il inscrit le but qui envoie Reims en finale de la C1 de 1959 (La Ligue des champions de l'UEFA, parfois appelée C1 et anciennement dénommée Coupe des clubs champions européens de sa création en en 1955 jusqu'en 1992, est une compétition annuelle de football organisée par l'Union des associations européennes de football (UEFA) et regroupant les meilleurs clubs du continent européen. C'est la compétition sportive interclubs la plus prestigieuse d'Europe, devant la Ligue Europa).

    En 1959, il quitte le club et rejoint avec son coéquipier international René Bliard et deux espoirs du Stade de Reims, Desruisseau et Maouche, le Red Star dans le but de monter en Division 1. Une saison qui s’achève dans la confusion, le Red Star est exclu du championnat de France de D2 pour tentative de corruption.

    Il signe ensuite à Limoges où il finit sa carrière à l'âge de 36 ans.

     

    Équipe de France

    Il reçoit sa première sélection en équipe de France le 5 octobre 1952 lors d'un match contre l'Allemagne (3-1).

    Associé à Jean-Jacques Marcel aux postes de demi-centre, il participe à la Coupe du Monde 1954 et il est ensuite un des principaux artisans de l'épopée suédoise de l'équipe de France en 1958. Il est nommé capitaine contre l'Allemagne à la suite de la blessure de Robert Jonquet contre le Brésil.

    Il garde la confiance du sélectionneur quand, passé au Red Star, il évolue en Deuxième Division à près de 33 ans. Il reçoit sa dernière sélection le 13 décembre 1959 contre l'Autriche (5-2).

     

    Entraîneur

    Il passe ses diplômes d'entraîneur et finit major de promotion.

    Il réalise une carrière éphémère d'entraîneur à l'Olympique de Marseille en 1962 en succédant à Otto Gloria. L'expérience n'est pas concluante mais il reste dans la région marseillaise comme entraineur-joueur au club de La Ciotat puis en tant que représentant pour une marque de sport.

    Article tiré de Wikipédia


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  • L'Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours (les Mormons) va pouvoir numériser l'état civil français, y compris les copies dont elle dispose depuis les années 1960 sous forme de microfilms, selon une nouvelle délibération de la CNIL datée du 7 avril 2015

    http://www.legifrance.gouv.fr/affichCnil.do?oldAction=rechExpCnil&id=CNILTEXT000030544394&fastReqId=1499084783&fastPos=1%29

    Elle pourra également indexer les noms présents dans ces registres et diffuser les images issues de ces registres d'état civil sur son site Internet Familysearch, sous réserve d'en avoir obtenu l'accord (la licence) de chaque département concerné. Et sous réserve également de respecter les nombreuses restrictions émises par la Commission, notamment le masquage des données personnelles datant de moins de 120 ans.

    Férus de généalogie et aussi très légalistes, les membres de cette église américaine ont demandé à la Commission et obtenu pour la deuxième fois des précisions sur leurs activités généalogiques en France. Ce texte vient annuler et remplacer le précédent remontant au 25 avril 2013

    http://www.legifrance.gouv.fr/affichCnil.do?oldAction=rechExpCnil&id=CNILTEXT000027447583&fastReqId=1548183914&fastPos=1 , il donne cette précision importante sur la numérisation des microfilms.

    Ainsi, analyse la CNIL, " Dès lors qu'elles deviennent librement communicables au sens du code du patrimoine, les archives peuvent, sans préjudice d'une licence accordée par le service d'archives public concerné, être numérisées dans l'intégralité des données sélectionnées par le service public d'archives et être transférées aux États-Unis d'Amérique ".

    En clair, cela signifie que les Mormons qui disposent d'une des collections les plus complètes de copies de l'état civil français sous la forme de microfilms peuvent procéder à leur numérisation, ce qui pourtant était exclu par l'accord passé entre les Archives de France et Familysearch, le nom de leur filiale dédiée à la généalogie.

    Parmi les restrictions imposées par la CNIL, les Mormons devront masquer " les données relatives à des personnes nées depuis moins de cent vingt ans, qui figurent dans les archives numérisées ", y compris dans leur version diffusée sur Internet. En particulier, les données relatives à la santé, à la religion ou aux infractions, susceptibles d'être révélées notamment en marge d'un acte d'état civil, seront masquées manuellement ou électroniquement avant toute publication sur le site.

    À l'expiration d'un délai de 150 ans à compter de la naissance de la personne concernée, le masquage de ces données pourra être enlevé, si l'accès aux données est restreint " aux fins de garantir le respect de finalités de recherches historiques, y compris à titre personnel et familial, scientifiques ou statistiques ".

    À défaut de telles restrictions d'accès, les données sensibles devront être occultées, de façon irréversible.

    Autre point, les Mormons vont pouvoir continuer à indexer les autres données issues de fonds privés. Il s'agit par exemple du répertoire des registres paroissiaux de Rouen (1680-1789), de l'enquête de consanguinité du diocèse de Coutances (1597-1818), des archives du protestantisme français (registres protestants 1612-1910), des registres paroissiaux du diocèse de Quimper et Léon (1772-1910) ou des registres paroissiaux du diocèse de Coutances et d'Avranches (1533-1906). La CNIL prend acte de la présence de ces fonds et de l'engagement des Mormons de " traiter les données dans les conditions similaires à celles organisant l'accès aux données issues d'archives du secteur public, décrites par la présente délibération ".

    Enfin, la CNIL rappelle aux Mormons l'existence d'autres limitations valables pour tous les opérateurs publiant des données nominatives sur Internet :

    - aucune donnée personnelle ne sera accessible par des moteurs de recherche avant l'expiration du délai de 120 ans à compter de la naissance des personnes ;

    - l'indexation, par l'outil de recherche interne au site de FamilySearch, sur les données personnelles (en particulier nom, prénom(s), lien de filiation, date et lieu de naissance des personnes concernées), est autorisée 120 ans à compter de la naissance de la personne ;

    - l'indexation, par des moteurs de recherche externes, sur les données personnelles est autorisée à l'expiration d'un délai de 150 ans à compter de la clôture du document archivé, ce qui n'empêche pas de référencer les images d'archives sur des données autres que personnelles pour cette période de 120 ans à 150 ans, sauf à respecter des exigences spécifiques formulées par le détenteur ou le producteur des archives.


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  • Avant d'aborder la recherche des pièces d'état civil, il peut être utile de mener une enquête de terrain sur les lieux où ont vécu vos parents et grands-parents.

    Si vous connaissez leur quartier ou leur maison d'habitation, une visite sur place s'impose : notez les inscriptions que l'on trouve parfois sur le linteau de la porte principale (nom ou initiales du propriétaire, date de construction), sur celui de la cheminée, sur les poutres maîtresses, sur les ferronneries ou sur les menuiseries. 

    Si vos ancêtres étaient commerçants, il est possible que l'enseigne ou la raison sociale de leur magasin soient encore inscrites sur la façade.

    Visitez également l'église du village où les bancs sont parfois gravés au nom d'une famille. Faites attention également aux dédicaces et ex-voto accrochés aux murs des chapelles latérales.

    N'oubliez pas « d'interroger » les tombes des cimetières : les épitaphes, les marbres-souvenirs vous donneront des indications utiles. Vous pouvez également consulter le registre du cimetière auprès du gardien ou de la mairie. Ce livre mentionne les noms et prénoms des personnes disparues, la date de leur décès et l'emplacement de la tombe.

    Consultez aussi les plaques de marbre que l'on trouve parfois dans les bâtiments publics (notamment les préfectures ou les hôpitaux). Celles-ci comportent une liste de généreux donateurs dans laquelle vous trouverez peut-être l'un de vos parents.

    Enfin, sur la place du village, notez les noms des soldats inscrits sur le monument aux morts.

    Au terme de toutes ces démarches vous êtes maintenant prêt à aborder l'étude des documents d'archives et notamment des actes d'état-civil.


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  • Pour faciliter les échanges d'informations et de renseignements entre généalogistes amateurs vous devrez utiliser des sigles et des abréviations conventionnels universels, tous reproductibles sur un clavier d'ordinateur ou de machine à écrire.

     

    Pourquoi des sigles et abréviations ?

    Une recherche généalogique demande de l'organisation et une méthodologie.

    Au cours de votre quête, il vous faudra classer, trier et organiser les renseignements recueillis à travers des fiches et des dossiers.

    Naturellement, libre à vous de vous organiser comme vous l'entendez. Mais pour faciliter le classement et l'échange des informations, les généalogistes ont mis au point un tableau de sigles spéciaux à utiliser sur vos fiches et dans toutes vos correspondances.

    Ces sigles et ces abréviations vous seront utiles pour indiquer la naissance, le mariage, le décès et autres renseignements sur chacun de vos ancêtres.

     

    Les sigles et abréviations à utiliser

     

    naissance

    ° ou o ou *

    baptême

    b

    Né et baptisé

    ö

    Naissance illégitime

    (°)

    Mort-né

    °+ ou °? ou °?

    Fiançailles

    (x)

    mariage

    x

    Mariage religieux

    xR

    Contrat de mariage

    Cm

    divorce

    )(

    Mariage dissous par l'Eglise

    )x(

    remariages

    Re x ou x2, x3...

    Union libre, concubinage

    o/o ou &

    Union légitime

    -x-

    Sans alliance actuelle, célibataire

    s.a.a.

    Sans alliance pour une personne décédée

    s.a.

    Postérité adultérine

    p.a.

    Sans postérité

    s.p ou S.p

    Enfant adopté

    adpt

    Descendance

    desc.

    Ascendance

    asc.

    décès

    + ou ?

    obsèques

    obs.

    inhumation

    (+) ou (?) ou (?)

    incinéré

    inc.

    Mort au champ d'honneur

    ++ ou ? ? ou ? ?

    testament

    test ou ttt

    père

    P

    mère

    M

    fils

    fs

    fille

    fa

    parrain

    p

    marraine

    m

    témoin

    t

    veuf

    Vf

    veuve

    Vve

    notaire

    N° ou not.

    monseigneur

    Mgr.

    seigneur

    Sgr.

    sieur

    Sr

    bourgeois

    Bgs

    De cette paroisse

    dcp

    Archives Nationales

    A.N.

    Archives Départementales

    A.D.

    Archives Municipales

    A.M.

    Bibliothèque Nationale

    B.N.

    Baptême, mariage, sépulture

    B.M.S.

    Naissance, mariage, décès

    N.M.D.

    Etat Civil

    E.C.

    microfilms

    MF

    Registres de catholicité

    R.C.

    Religion prétendue réformée

    R.P.R. (calvinisme)

     


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